Un tournant pour La Redoute

La Redoute dévoile sa nouvelle signature de marque : « Vivre le beau ». Elle exprime ainsi la mission de l’entreprise : « embellir la vie des familles ».

Voici comment cette mission est expliquée dans un récent communiqué :

« Dans un monde parfois anxiogène, le beau permet de retrouver de l’envie, du plaisir et de la légèreté. Le beau fait du bien, il apporte du réconfort en créant une atmosphère positive.
La mission de La Redoute est de démocratiser ce Beau : apporter, dans la vie des Français, la touche de beauté nécessaire pour qu’ils se sentent bien chez eux, et entre eux.

Pour Virginie Boudet, Chief Brand & Communications Officer de La Redoute, « cette nouvelle signature met en lumière l’ADN de La Redoute. « Vivre le beau », c’est réaffirmer notre art de vivre Mode et Maison, inspirant et accessible à tous. Revendiquer le beau, c’est aussi rappeler, que via ses engagements RSE et associatifs, La Redoute contribue de façon positive à la société.
[…] La marque souhaite mettre en lumière l’importance de l’esthétisme comme moteur de bien-être. Les Français y sont particulièrement sensibles, comme le révèlent les résultats d’un sondage réalisé par l’institut Yougov pour La Redoute1 : pour plus de 9 Français sur 10, la belle décoration/un bel ameublement intérieur fait du bien ; près d’1 Français sur 2 cherche d’abord à créer un environnement confortable et accueillant à travers une belle décoration et/ou un bel ameublement intérieur. »

Une campagne publicitaire vient mettre en récit la nouvelle signature de marque, autour de 6 produits signatures, emblématiques du rapport style, qualité, prix de la marque, qui jouent le rôle d’ambassadeurs :

Meubles signatures, produits ambassadeurs

En TV, l’agence met en scène des moments de vie dans lesquels « l’effet beau » des produits La Redoute Intérieurs sauve les protagonistes de situations un peu compliquées. C’est le canapé Kinoko qui sauve l’entretien d’embauche d’une candidate à l’anglais approximatif. La beauté de la table Douve clôture le spectacle d’une apprentie magicienne un peu trop assurée :